France

Ce lundi 7 novembre, les réseaux sociaux se sont indignés des températures dans de nombreuses écoles de Rouen alors qu’il était temps de reprendre les cours après les vacances.

Comme annoncé par le gouvernement en septembre dernier, l’Asf est revalorisée de 50% à partir du 1er novembre prochain. Cette aide versée par les Caf et la MSA à 800 000 familles monoparentales qui élèvent seules un ou plusieurs enfants, s’élèvera désormais à 184,41€ par enfant et par mois. 

Dans une école maternelle du Val-de-Marne, l’établissement Anatole-France de Limeil-Brévannes, de nombreux élèves frissonnaient ou s’enveloppaient dans des vêtements chauds pendant leurs cours.

Le 6 octobre, une mère de famille de 47 ans était jugée au tribunal de Valenciennes. Cette dernière est poursuivie pour négligence envers enfants, et la présidente attendait la mère de famille avec impatience. Elle ne s’est pas présenter, selon La Voix du Nord.

Les faits remontent à la mi-septembre à la crèche Microstars de Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis. Loubna et Imed, un couple dans la trentaine, récupèrent leur petite fille de 7 mois à la crèche. Ils ont trouvé traces rouges sur la fille mais n’ont pas été inquiétés et l’ont mise au lit comme d’habitude le soir.

A l’école Louis-Forton de Sées, dans l’Orne, les élèves qui perturbent la vie de la cantine sont contraints de laver couverts et assiettes. Les sanctions vont trop loin pour les parents.

Les témoignages de femmes pointant des cycles menstruels retardés ou perturbés se sont multipliés depuis que la campagne de vaccination contre le Covid-19. Plus d’un an plus tard, une étude portant sur 20 000 femmes dans le monde a confirmé que le vaccin modifiait la durée des menstruations.

C’est une initiative inédite lancée par Gabriel Daub, maire de la petite commune de Perrier, dans la Manche. Le maire normand a décidé de réduire le chauffage dans les écoles de sa commune à cause du resserrement énergétique dans toute la France.

Un mois après la rentrée scolaire, Saïd n’a toujours pas rejoint la classe. Le lycéen ivoirien devait aller en terminale au lycée Aubrac de Courbevois (Haute-Seine), mais son profil a été bloqué. « Il a pleuré et m’a dit que c’était de ma faute », a déploré sa mère, Digata Ouattara.