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Pourquoi les enfants sont pires que des patrons (et vous ne pouvez pas démissionner)

Bienvenue dans le monde merveilleux de la parentalité, où les horaires n’existent plus, les réunions s’enchaînent sans pause, et où le feedback se limite souvent à un “beurk, j’aime pas ça !”. Oui, les enfants sont pires que des patrons — et malheureusement, aucune clause de contrat ne permet de donner sa démission.
Écrit par La redaction. Publié dans , .

Vous pensiez que votre patron était exigeant ? Qu’il vous en demandait toujours plus, sans jamais dire merci ? Attendez d’avoir un enfant. Là, c’est du niveau supérieur.

Bienvenue dans le monde merveilleux de la parentalité, où les horaires n’existent plus, les réunions s’enchaînent sans pause, et où le feedback se limite souvent à un “beurk, j’aime pas ça !”. Oui, les enfants sont pires que des patrons — et malheureusement, aucune clause de contrat ne permet de donner sa démission.

1. Ils ne connaissent pas la notion de week-end

Un patron, au moins, finit par partir en vacances. Il y a des jours fériés, des RTT, parfois même un vendredi un peu plus léger.
Un enfant ? Jamais.
Dimanche matin, 6h42 : “Maman, j’ai faim.” 7h05 : “Papa, tu joues avec moi ?” 7h07 : “Pourquoi t’as les yeux fermés ?”
Le tout avec la conviction sincère que la nuit est terminée pour tout le monde.
Avec eux, pas de congés ni de télétravail possible. Votre open space familial fonctionne 24h/24, 7j/7, sans pause café.

2. Ils pratiquent le management par le chaos

Un patron organise des réunions. Un enfant, lui, organise la pagaille.
Son bureau, c’est votre salon. Ses archives, vos tiroirs. Et ses brainstormings, des sessions de peinture sur le mur ou de pâte à modeler sur le tapis.
Leur mode de management est clair : “Je fais, tu ramasses.”
Et pourtant, vous restez fidèle, même quand le management visuel se traduit par un paquet de céréales explosé dans la cuisine.

3. Ils ont une capacité de négociation redoutable

Un bon manager sait négocier. Mais un enfant, lui, a fait Harvard sans le savoir.
Exemple : “Une histoire avant de dormir.”
Traduction : trois livres, un câlin, un verre d’eau, un passage aux toilettes, un autre câlin, et une dernière question existentielle :

“Maman, pourquoi la lune, elle nous regarde ?”

Résultat : il est 22h30, et vous signez des accords de paix pour éviter un drame diplomatique.

4. Leur communication interne est… bruyante

Les enfants ne laissent aucun mail sans réponse, mais ils répondent tous à voix très haute.
Cris, disputes, chansons répétées en boucle : la bande-son de votre vie ressemble à une réunion d’équipe où tout le monde parle en même temps.
Vous rêvez parfois d’un bouton “mute” ? Normal. Le télétravail familial est une expérience sensorielle à part entière.

5. Leur exigence est sans limite

Un enfant vous demande un gâteau en forme de licorne, maintenant, tout de suite, avec des paillettes comestibles — et il pleure si la corne est de travers.
Et si vous osez échouer, attention : le comité de direction “peluche et poupées” se réunit instantanément pour délibérer sur votre incompétence.

6. Leur feedback est brutalement honnête

Ils ne passent pas par quatre chemins :

“Maman, t’as grossi ?”
“Papa, t’as une tête de zombie.”
“Ce repas, c’est pas bon, mais t’inquiète, je vais quand même prendre un dessert.”

Pas de réunion d’évaluation, pas de bilan annuel : juste une franchise totale, à toute heure. Et pourtant, on les aime pour ça (enfin… la plupart du temps).

7. Mais leur bienveillance vaut toutes les primes

Parce que malgré les cris, les négociations interminables et les nuits écourtées, ils sont aussi les meilleurs patrons du monde.
Ceux qui vous font rire après une journée impossible, qui vous serrent fort pour un rien, et qui vous rappellent ce qui compte vraiment.
Pas de salaire, pas de promotion, pas de RTT… mais un câlin de 30 secondes qui efface tout.

Alors oui, vos enfants sont de terribles petits managers.
Mais contrairement à votre patron, eux, vous les avez choisis (et aimés avant même de les rencontrer).