
Prévenir les méningites à
méningocoque, c’est possible !
Etat des lieux
Si 1 Français sur 3 n’a jamais entendu parler de méningite à méningocoque(1), il n’en reste pas moins que cette pathologie, rare et imprévisible, continue de faire de nouvelles victimes, notamment chez les enfants et les adolescents.
Méningites à méningocoque, de quoi s’agit-il ?
Ces maladies font partie d’un groupe de maladies nommé « infections invasives à méningocoque ». Il s’agit d’infections bactériennes causées par des bactéries appelées « méningocoque ». La méningite à méningocoque est une forme de méningite bactérienne – une grave infection des fines membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elles sont parfois capables de pénétrer dans la circulation sanguine où elles peuvent provoquer une infection généralisée dont la forme la plus grave est le purpura fulminans.
Une maladie rare
459 personnes ont été touchées en France en 2019(2). Ce chiffre peut sembler faible par rapport à d’autres pathologies, mais cela reste beaucoup trop pour une maladie grave contre laquelle des moyens de prévention existent.
Une maladie grave
La France est le 3ème pays en nombre de décès en Europe en 2018(3). Parmi les survivants, 1 sur 5 pourrait souffrir d’importantes séquelles physiques et neurologiques à long terme selon l’OMS, l’Organisation Mondiale de la Santé.
Une maladie imprévisible
Les méningites à méningocoque surviennent généralement de manière isolée. Leurs premiers signes sont peu caractéristiques et peuvent être confondus avec ceux d’une grippe. Pourtant, selon l’OMS, elles peuvent conduire au décès en 24 à 48 heures.
Quels symptômes ?
Difficiles à diagnostiquer et imprévisibles, les symptômes de méningites à méningocoque se manifestent par une raideur de la nuque, une léthargie, des troubles de la conscience (voire coma) ou encore l’apparition de taches hémorragiques sous la peau. Autant de signes d’alerte d’une infection invasive à méningocoque, imposant, en urgence, un traitement antibiotique et une hospitalisation.
Chez le tout-petit
Chez le nourrisson, d’autres signaux peuvent également vous alerter. Difficulté à s’éveiller, cris ou gémissements importants, tendance à arquer le dos ou à tirer sur le cou, fontanelle bombée, teint pâle tacheté (cyanose, marbrure), agitation et inconfort, comportement inhabituel… Une prise en charge urgente est ainsi nécessaire.
La clé ? La prévention !
Face à la fulgurance des méningites à méningocoque, GSK, laboratoire pharmaceutique international de premier plan, s’engage pour sensibiliser le grand public aux dangers de cette pathologie. « Nous avons souhaité nous mobiliser pour informer et sensibiliser le grand public sur l’imprévisibilité et la gravité des méningites à méningocoque. Notre campagne contribue à l’effort de pédagogie pour mieux faire connaître cette pathologie et invite les Français, et en particulier les parents de jeunes enfants, pour qui le risque est plus élevé, à s’informer auprès de leur médecin des différents moyens de prévention » précise Yan Sergerie, de la Direction Médicale de GSK France.
http://www.protectionmeningites.com
(1) Harris Interactive. Les Professionnels de Santé et la méningite. Rapport d’étude avec regards croisés entre les Professionnels de Santé et le Grand Public. Février 2019.
(2) Santé publique France. Les infections invasives à méningocoques en 2019.
(3) Surveillance Atlas of Infectious Diseases. https:// atlas.ecdc.europa.eu/, consulté le 03/12/20. n
NP-FR-MNX-JRNA-200001 – Décembre 2020 @ 2020 Groupe GSK

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