Vous l’avez fait avec votre premier enfant ? Vous ne le ferez plus avec les suivants !

Ah la première fois… Une expérience toute à fait particulière qui vous pousse à jouer les perfectionnistes jusque dans les moindres détails. Et pourtant, à l’arrivée du petit second (et des suivants…), les choses changent littéralement. Exit les conventions tirées à quatre épingles, la chanson vous la connaissez, et quelques couplets risquent fortement de sauter…

« Moi je vais faire tout l’inverse, et vous raconter ce que je n’ai pas fait au premier et que je me suis empressée de faire au second… Une séance photos pour garder de jolis souvenirs de ma grossesse ! A l’époque du premier, je n’avais pas les moyens de m’en offrir une. Et que de regrets ! Quand ma fille a pointé le bout de son nez, j’ai rectifié le tir dès les premières rondeurs dessinées ! Et si un jour j’ai un troisième enfant, je le referai sans hésiter… »

Camille

« Ne lui laisser aucun répit ! J’entends pas là que mon premier enfant était ce qu’on appelle un bébé miracle. Trois ans que j’attendais désespérément de pouvoir devenir maman. Alors forcément, quand il est arrivé, je ne le quittait pas d’une semelle, la caméra au poing ! Je filmais tout, dans les moindres détails et franchement, à voir le résultat quelques années après, je me dis que j’étais un peu dingo. Alors quand notre deuxième enfant est arrivé, j’ai lâché prise. Bon, OK, j’ai pour lui quelques belles heures de vidéo aussi, mais je me suis franchement calmée ! »

Pauline

« Pour mon premier loulou, j’ai acheté une bonne dizaine de petites paires de chaussures. Vous savez, celles qui sont trop mignonnes et qui nous font craquer. Bah elles servent strictement à rien ! Non seulement elles sont difficiles à enfiler sur un tout-petit et clairement, à part pour faire une ou deux photos sympas, elles restent au fin fond du placard. On ne m’y reprendra plus ! »

Kéren

« Accorder de l’intérêt à ce que me disait mon entourage ! Pour ma première grossesse, je buvais les paroles de toute bonne âme qui voulait bien me prodiguer de plus ou moins bons conseils. J’étais à l’affût de la moindre expérience, du moindre avis. Avec l’arrivée du deuxième (et des suivants parce que j’ai 5 enfants), je me suis aperçue que mon meilleur allié, c’était mon instinct ! Et gare à ceux qui viennent commenter ma façon de materner… »

Marina

« Faire la sieste ! Quand j’ai eu mon premier bébé, j’étais épuisée. Alors je profitais de ses nombreuses siestes pour moi-même piquer du nez. Avec un deuxième, c’est foutu ! Le grand ne dort plus en journée et le petit dernier obéit à son propre rythme. Du coup, plus une seule seconde de répit… »

Ilona

« Acheter des encyclopédies sur la parentalité. Pendant ma première grossesse, je potassais tout ce qui pouvait me tomber sous la main traitant de Bébé, de l’éducation, de l’alimentation, de la santé… Tout ! Et bien je peux vous dire que la moitié des choses que j’ai lu dans ses bouquins ne m’ont pas servie ! Alors oui, je suis calée sur la question. Mais je me suis aussi beaucoup angoissée sur des tas de sujets… pour pas grand chose. »

Audrey

« Dès que mon bébé était malade, qu’il avait le moindre petit pic de fièvre, le moindre pet de travers, je courrais chez le pédiatre. Autant vous dire que j’y étais tous les quatre matins ! Pour mon deuxième enfant, j’ai eu la sensation d’être rodée. Je savais distinguer les petits bobos et grosses frayeurs, faire la part des choses. Oui, un deuxième bambin, c’est beaucoup moins stressant ! »

Meriem

« Me prendre la tête avec les horaires ! Avant d’avoir ma grande, j’avais des idées très définies sur la manière d’éduquer un enfant. Et j’étais obsédée par les heures du coucher, du bain, des repas… Même pendant les vacances. Avec l’arrivée du petit dernier, je suis devenue beaucoup plus souple. Je me suis rendue compte que le quotidien était plein de surprises et d’impondérables et que grignoter quelques minutes sur telle ou telle action n’avait aucune conséquence. Plus zen ! »

Béa

« J’avoue que pour mon premier enfant, je m’étais mis en tête de préparer maison chacun des repas de mon bébé. Purées, compotes et j’en passe, je m’échinais à tout faire moi-même… Ça a duré les premières semaines de la diversification et après, je me suis essoufflée. Quand mes jumeaux ont débarqué, ma vision des choses a totalement été bousculée et les petits pots tout prêts ont fait leur apparition. Et sincèrement, il n’y a aucun mal à alterner ! »

Éloïse

« Prendre toute la place et étouffer un peu le papa. Je l’avoue, à la naissance de notre premier enfant, j’étais limite tyrannique. Mon homme ne pouvait quasiment pas prendre d’initiatives avec notre petit garçon, je trouvais qu’il faisait tout de travers. Avec le temps, j’ai compris que j’allais trop loin. Alors à l’arrivée de notre deuxième petit bout, j’ai lâché du lest, sa place lui a été rendue… Pour son plus grand bonheur ! »

Mélanie

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