La pollution est-elle vraiment dangereuse pour mon bébé ?

État des lieux : Bon, inutile de se le cacher plus longtemps, un bébé de la ville n’est pas un bébé des champs. Seulement voilà, que ce soit pour des raisons professionnelles, familiales ou financières, les citadins n’ont pas tous la possibilité (ou l’envie!) d’aller batifoler à la campagne où l’air est vraisem­blablement plus sain. Un bébé, c’est fragile. Et si vous vivez dans une grande mégalo­pole, forcément, il ne pourra échapper à la bonne dose de polluants en tous genres qui s’y trouvent. Ne culpabilisez pas pour autant, avec quelques précautions, vous pourrez nettement limiter l’impact de la pollution sur le petit organisme si choupi­nou de votre adorable baby.

Les bons réflexes : L’alerte est donnée, un pic de pollution s’abat sur votre cité. Aïe. Et les infos à la télé préconisant de veiller sur les nourrissons et les personnes âgées ne font rien pour arranger l’état de panique dans lequel vous plongez. Re-aïe. Premier réflexe, limiter les sorties, la poussette et la pollution ne faisant pas bon ménage (ob­servez comme la voiturette de votre baby est proche des pots d’échappement et vous comprendrez…). Attendez une accalmie pour reprendre le chemin du parc et pré­férez toujours porter votre bout’chou dans vos bras, pour limiter l’absorption de pol­luants.

Notre avis : « Et si vous profitiez d’un week-end ou d’une belle après-midi pour vous échapper de la ville ? Un petit tour en train (beaucoup moins pol­luant que l’auto et surtout, on ne risque pas les bou­chons) dans un joli village alentour aussi charmant que respirable ne pourra faire que du bien à votre petit ange, et à vous aussi ! Le plus ? On s’éloigne de la grisaille ambiante de nos grandes cités pour partir à la découverte de la nature, plutôt chouette, non ? ».

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